la fille pirate -Chapitre 9

Chapitre 9

 J'entrait dans le bureau du capitaine. 

-Vous m'avez fait demander ? demandai-je.

-Oui, répondit-il. Je vais répondre à une de tes innombrable questions: je vais te dire ce que je vais vendre.

-Merveilleux. Je suppose que c'est un honneur, répondis-je, sarcastique, en croisant les bras.

-En quelque sorte, oui...

-Et vous allez vendre quoi, au juste ? m'impascientai-je.

-Je vais vendre la jeune fille insolente qui se tient de moi, répondit-il calmement.

Deux hommes sortir de l'ombre, derrière le bureau du capitaine.  Mon cerveau ce brancha immédiatement en mode "échappatoire". Mes yeux repérèrent un fenêtre assez grande pour que puisse y passer. Maintenant, il me faut gagner du temps. 

-Pourquoi moi ? demandai-je, sans vraiment réfléchir.

 Le capitaine, pris de cour, réfléchi. Je fis un pas en direction de la fenêtre et pris le première objet qui se trouvait sur la table derrière moi.  Un chandelier. Super... Je le jeta sur la tête de l'homme le plus proche de fenêtre. Sous le coup, l'homme (peu résistant à mon goût), s'évanouit. Je courue j'usqua la fenêtre et, consciente qu'elle était fermé, s'autai-je.

 Les bouts de verre volèrent autour de moi. Je plongeait dans l'eau et le contact me fit frissonner. C'est à ce moment-là que je me rendit compte que je ne savait pas à qu'elle distance j'étais de l'Angletterre. Cela ne me découragea pas pour autant. Je n'agea pendant ce qui me sembla une éternité (et ce fut certainement une éternité) l'osrsque j'erta quelque chose. je releva la tète et vit que j'avais heurter un poteau. Un poteau dans l'eau ?  Cela ne peut-être qu'un ponton. J'éscalada le poteau et me retrouva sur le ponton, trempée de la tête au pied. 

 Je me rendit alors compte que j'avait toujours mon épée, hériter de mon père à sa mort. Je marcha sans but préçit, évitant le port où le bateau du capitaine venait d'arriver.  Une passante m'arrèta. Elle était grande et portait une robe bleu et un foulard rouge retenait ses cheveux. Elle me dit:

-Vous me semblez exténuez, jeune fille. Venez, je vais vous fournir des vêtements propre.

-Mais je n'ai pas d'argent, protestai-je.

-Ce n'est pas une problème. Nous allons faire un marcher: je vais vous prêtez une tenue acceptable et faire séchez vos vêtement. En échange, vous nous aiderrez à notre taverne. Losqu'il seront sec, vous repartirez vivre votre vie. C'est d'accord ?

-Cela me semble acceptable...

-Très bien alors. Je m'appelle Asmaé, et vous ?

-Je m'appelle Elizabeth. Elizabeth Khat.