la fille pirate -Chapitre 11

Chapitre 11

 Le lendemain, je fut réveiller par Anne qui me secouait vigoureusement. 

-Lève-toi Elizabeth ! Il y a quelqu'un qui veut te parler, en bas, me dit-elle.

-Quelqu'un ? marmonnais-je, ensommeillé. Qui ?

 Cela faisait tellement longtemps que je n'avais pas si bien dormit !

-Je ne sais pas, mais il a l'air heureux de t'avoir retrouver !

 Je m'asseyais sur le bord du lit. Dur de se lever ! Je m'habillais rapidement avant de descendre en bas. 

 Un homme m'y attendait. Il était plutôt grand et sa carrure me disait quelque chose.

-Bonjour ? tentais-je, intriguée.

-Bonjour, Tatiana, me répondit l'homme.

 Raaaaaaah ! Encore mon frère ! Il n'y avait que lui pour m'appeler Tatiana !

-Qu'est-ce que tu me veux ? Et arrête de m'appeler Tatiana !

-Le Capitaine Robert Maynard m'a envoyer te chercher, lança-t-il d'un air important.

-Rah ! Mais il me casse les pied, lui ! m'ésclamais-je. Pourquoi, d'ailleur ?

-Parce que tu es sa  prisonnière et qu'il doit te vendre !

-Ben voyons ! Depuis quand je vais me vendre moi-même à l'enemmi ? Tu ne m'a pas assez fréquenter ?

-Maynard ma dit que si tu refusais je devais te proposer un marcher, continua-t-il, visiblement pas décourager pour autant.

-C'est quoi ? demandais-je.

-De quoi ? me répondit mon frère, intrigué.

-Bah, ton marché, idiot !

-Ah, oui ! Si tu me bats en duel tu reste ici.

-Tu parle d'un marché !

 Je me tournais vers Anne, toujours derrière moi.

-Vous n'auriez pas un endroits dégagé pour faire un combat à l'épée, par ici ?

 Elle ouvrit la bouche pour répondre mais mon frère la coupa:

-Nous le ferons sur la place principale. Prépare-toi, Elizabeth.

 Sur ce, il tourna les talons et sortit. Je me retournais vers Anne et lui dit:

-Vas prévenir les autres que le sang va couler sur la place principale.

 Elle hocha la tête et parti vers la cuisine en titubant. Je montais dans ma chambre pour y mettre des habits appropriés lorsque quelqu'un toqua:

-Entrez, marmonnais-je.

 Et là, le boulet de canon des escaliers de la veille entra ma chambre. Il m'attrappa par les épaules et me secoua comme un prunier tout en me criant:

-J'y crois PAS !! Tu vas te BATTRE sur la place PRINCIPALE ! C'est SUPER DANGEREUX ! Tu vas MOURIR si tu gagne pas !

-Personne a dit que ce serait un combat à mort, remarquais-je.

-Il n'empêche que tu vas te battre sur la PLACE PRINCIPALE !

-Oui, oui, c'est bon j'ai compris. Tu peux me lâcher maintenant.

 Jean obéit et s'affala sur le lit d'Anne. J'attrappais ma ceinture et y glissais le fourreau de mon épée. Il me regarda et dit:

-Dit, si tu gagnes, tu pourras m'apprendre à me battre à l'épée ?

 Je réfléchis un instant. Je ne savais pas où j'irais après avoir gagné cette bataille (car oui j'étais sure de gagner).

-Très bien, répondis-je finalment en soupirant. Je t'apprendrais à te battre à l'épée si tu me promets de ne pas te servir de ton arme pour provoquer tout le monde en duel juste pour t'amuser, ok ?

-Ouais ! Ok ça marche je serais un enfant modèle !

 Et il sortit de la chambre.

---

 Quelques minutes plus tard, nous arrivames sur la place publique. Tout la famille s'était déplassée et la place était bondée. Un espace avait été dégagé pour l'occasion. Jhonn m'y attendais, l'épée à la main. L'orsque j'entrais dans l'arène, il me fonça dessus à la vitesse de l'éclair. Mon seul réflexe fut de faire un pas sur le coté. Mon frère se rétama sur la porte et manqua de s'empaller sur sa propre épée. Je l'attrappais par le col et le trainais j'usqu'a le millieu du terrain.

-Maintenant, on va combattre loyalement, n'es-ce pas ? lui-demandais-je.

-Humpf... répondit-il. C'était un avant gout...

-Un avant gout pour toi oui ! déclarais-je en tirant mon épée.

 Il se releva tant bien que mal et se jeta sur moi. Je fis un pas sur le coté mais il réussi à m'égratiner avec le bout de son épée avant de fair demi-tour et de vouloir m'enfoncer son épée dans le dos.

-Ma parole ! Tu veux ma mort ? m'écriais-je en évitant son coup.

-Peut-êtres... chuchota-t-il.

 Je balança mon pied dans son éstomac. Il tombat par terre. Je pointa mon épée sur son cou.

-Ma foie, j'ai gagné.

-Pas encore, chuchota-t-il.

 Il sortit un revolver de sa poche et.. il tira. Je me jetais par terre juste à temps. La balle ne fit que m'éffleurer le bras. Il se releva et pointa son arme sur moi.

 C'est alors qu'une boule noir sauta sur mon frère, le désarmant sur le coup. J'eu ainsi tout le loisir de me relever et de pointer mon épée (encore une fois) sur son cou. Il leva les mains en l'air.

-D'accord tu as gagné ! cria-t-il, appeuré.

-C'est ça, ouais. Vas dire à ton capitaine qu'il est hors de question qu'il se serve de moi, c'est clair ?

 Il recula, les mains toujours en l'air et se dirigea vers la sortie. La foule m'applaudit en rigolant. C'est alors que je sentis quelque chose sur ma jambe. Je baissait les yeux et vit un chat noir se frotter à ma jambe. Je me baissais pour le carresser. Il me sauta sur l'épaule.

-Viens, Elizabeth. Nous allons te soigner.

 Je me retournais et vit Anna et Asmaé derrière moi. Je grattais le chat sous le menton.

-Oui. Rentrons.